31a - Frédéric FISCHER Jr (1810 - 1871) (1)[1] [2] [3]

Friedrich Georg Alexander FISCHER was born in Trier. 

Professor Massard’s biographical publication of 2012 [4] gives the following details:

Frédéric-Georges-Alexandre (Fritz) Fischer, dit Fischer junior, est né le 5 mai 1810 à Trèves (à l’époque le chef-lieu du département de la Sarre) comme fils de l’avocat trévirois Mathias Fischer.  Son frère aîné Mathias Joseph Charles André, dit Fischer senior, né à Trèves en 1799, s’est établi en 1827 comme pharmacien dans la ville de Luxembourg (pharmacie de la Licorne). Fischer junior est admis à son tour comme pharmacien à Luxembourg le 23 avril 1833. Il achète la même année à Théodore Nicolas Hochhertz (1778-1853) la pharmacie du Cygne sise au Marché-aux-Herbes (Krautmaart en luxembourgeois) qu’il déplacera en 1839 dans un immeuble de la rue de la Boucherie (Fleeschiergaass en luxembourgeois) .

In June 1847 Friedrich Georg Alexander FISCHER sent a letter to the Gouverneur [5] containing two petitions, a first one for obtaining the mining rights for extracting marble (demande en concession de l’exploitation d’une carrière de marbre) and the second one for a patent for using the same marble as lithographic substrate (brevet d’invention, de découverte ou de concession).

The Gouverneur asked the Ingénieur en Chef de l’Administration des Travaux Publics for advice. The latter reported back to the Gouverneur:

J'ai l'honneur de vous renvoyer avec la présente les deux demandes du sieur Fr. Fischer junior, pharmacien à Luxembourg tendant à obtenir un brevet d’invention, de découverte ou de concession pour ouvrir dans le Grand-Duché des carrières de marbre et de pierres à lithographie, minéraux qu'il prétend avoir découvert dans notre pays. 

Comme le sieur Fischer n'a pas joint à sa demande les échantillons de cette pierre et qu’il n'a pas non plus indiqué les lieux où il pensait avoir fait cette découverte, il m'est impossible de donner un avis sur la question de savoir, si les pierres qu'il a trouvées sont réellement des marbres et des pierres à lithographier. Il me reste donc seulement à examiner en combien le gouvernement peut faire droit à la demande du pétitionnaire. 

Après avoir revu les dispositions de la loi du 21 avril 1810 ainsi que l'instruction ministérielle du 3 août, même année, relative à l'exécution de cette loi et notamment les articles 1, 4, 6, 48, 49, 50, 81 et 82 de la loi et les §§ IV et VII de l'instruction, je pense qu'il ne peut pas avoir lieu de prendre en considération la demande du sieur Fischer attendu que ces dispositions sont trop positives en ce qu'elles donnent à chaque propriétaire le droit d'exploiter des carrières de marbre et de pierre à lithographier sans avoir besoin de demander une permission à cet égard.

On 20 July1847 this opinion was passed on to FISCHER and the file was closed. 

The petition for a patent was not recorded in the Register of patent applications.

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[1] FamilySearch database

[2] Wikipedia

[3[ see also No  62

[4] Jos. A. Massard, Frédéric Fischer junior (1810 - 1871) pharmacien et fabricant de gaz d'éclairage à Luxembourg (212), (http://massard.info/pdf/FischerF.pdf)

[5] “Ich war so glücklich Marmoranlagen (Erzkalk) in unserem Lande zu entdecken”

(22/02/2021)